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Ces musiques classiques connues que vous entendez partout, les musiques classiques les plus populaires

Photo du rédacteur: Emmanuel RialsEmmanuel Rials

Dernière mise à jour : 24 janv.


20 musiques classiques que vous avez forcément déjà entendu.

Préambule

Quand on parle de « musique classique connue », on fait généralement allusion à ces compositions qui ont traversé les époques, dépassé les tendances et pénétré l’imaginaire collectif. Qui n’a jamais siffloté le Boléro de Ravel sans savoir d’où venait cette mélodie ? Qui n’a jamais frissonné au son de la Cinquième Symphonie de Beethoven tout en étant incapable de la nommer ? Du moment où l’on fredonne l’« Hymne à la joie » de Beethoven jusqu’à celui où l’on se laisse envoûter par Le Lac des cygnes de Tchaïkovski, on perçoit à quel point la musique classique parvient à toucher chacun d’entre nous. Elle nous entoure, nous accompagne et, parfois, nous habite, souvent à notre insu. Pourtant, il ne s’agit pas de la musique la plus récente ni la plus « tendance ». Pourquoi donc parvient-elle à fasciner autant l’auditeur d’aujourd’hui ?


Au fil des siècles, qu’ils soient de l’époque baroque, romantique ou plus contemporaine, les compositeurs de musique classique ont produit des œuvres qui conservent toute leur force. Certaines, longtemps négligées ou passées inaperçues, ont finalement triomphé et figurent désormais au palmarès des « tubes » du classique. Elles résonnent dans nos salles de concert, se glissent à la radio, s’invitent dans nos publicités, nos films ou encore dans l’univers vidéoludique. Nous allons justement explorer ce phénomène : depuis l’accueil initial parfois timide jusqu’au succès retentissant, découvrez comment des partitions sont devenues des références, à écouter et réécouter sans modération.


Note aux lecteurs : Notre sélection s’articulera autour de plusieurs critères : la popularité (passée et actuelle), le rôle fondateur de chacune de ces pièces et leur résonance dans l’histoire musicale, sans oublier l’impact émotionnel, qui reste fondamental pour susciter l’adhésion du plus grand nombre.


Sommaire :



 

"La musique ne doit jamais offenser l'oreille, mais doit toujours rester un plaisir." - Wolfgang Amadeus Mozart

Les Incontournables de la Période Baroque


Musique Classique Connue : Les Joyaux Baroques de Bach


Johann Sebastian Bach (1685-1750) compte parmi les grands piliers de la tradition musicale occidentale, même s’il n’a pas toujours connu la notoriété dont il jouit aujourd’hui. À sa mort, son style fut considéré comme vieillot au regard du goût de la fin du XVIIIe siècle, plus enclin à la musique galante et classique. Il fallut attendre le XIXe siècle et l’enthousiasme de Felix Mendelssohn pour qu’il retrouve pleinement sa place.


Les “Brandenburg Concertos” : Le miracle de la redécouverte


Les Concertos Brandebourgeois (BWV 1046-1051), dédiés au margrave de Brandebourg au début des années 1720, témoignent d’une maîtrise accomplie dans l’art du concerto. On devine l’influence de Vivaldi, magnifiée par la complexité contrapuntique propre à Bach.

  • Anecdote : Après la mort de Bach, les partitions restèrent longtemps enfouies dans les archives du margrave. Ce n’est qu’au XIXe siècle qu’on les sortit de l’oubli.

  • Influence : À partir du moment où ces concertos furent redécouverts, de nombreux compositeurs anglais comme William Walton et Benjamin Britten en admirèrent l’ingéniosité instrumentale et s’en inspirèrent.




Le “Clavier bien tempéré” : Un trésor pour tous les pianistes


Le Clavier bien tempéré (BWV 846-893) se compose de deux livres regroupant des préludes et fugues dans toutes les tonalités.

  • Réception : Conçu à l’origine pour explorer le tempérament égal et permettre une étude exhaustive des tonalités, il ne fut pas immédiatement apprécié à sa juste valeur.

  • Postérité : De nos jours, il est le passage obligé pour les apprentis pianistes, à la fois outil pédagogique et chef-d’œuvre musical.

  • Anecdote : Beethoven, passionné par Bach, soulignait son importance en jouant sur la signification de son nom : « Bach signifie “ruisseau”, mais c’est plutôt un océan ! »




Antonio Vivaldi : Le virtuose vénitien


Antonio Vivaldi (1678-1741), surnommé le “Prêtre roux”, connut également la disgrâce après sa disparition, avant d’être redécouvert au XXe siècle.

  • Œuvre marquante : Les Quatre Saisons (1721).

  • Accueil initial : À son époque, c’était surtout ses opéras et ses nombreux concerts qui faisaient sa renommée. Les Quatre Saisons ne formant qu’une partie de l’Opus 8 (Il cimento dell’armonia e dell’inventione).

  • Anecdotes :

  - Chaque concerto s’accompagne d’un poème décrivant la saison concernée.

  - Aux XIXe et XXe siècles, Vivaldi n’était guère joué que par quelques rares virtuoses, dont Paganini.

  - Les Quatre Saisons figurent aujourd’hui parmi les pièces les plus diffusées et enregistrées.




Georg Friedrich Haendel : À la conquête de l’Europe


Contemporain de Bach, Haendel (1685-1759) s’installe à Londres en 1712 et y connaît un succès considérable.

- Œuvre phare : Le Messie (1741).

  - Réception : Sa création à Dublin en 1742 triompha immédiatement.

  - Le “Hallelujah” : La légende raconte que le roi George II, bouleversé par ce chœur, se leva, incitant toute l’assistance à faire de même. Une habitude qui se perpétue encore.

  •  Popularité contemporaine : Cet oratorio figure parmi les plus joués au monde, tout spécialement à l’approche de Noël.

  • Anecdote : Mozart, tout comme Beethoven, admirait vivement Haendel, dont la science du grand effet musical et le sens de la mélodie nourrirent leurs propres compositions.




Malgré des périodes d’oubli, ces œuvres baroques appartiennent désormais au fondement de la « musique classique connue ». Bach, Vivaldi et Haendel restent indémodables, leur musique continuant d’enchanter les interprètes et le public.



 


Les Figures Phare du Classicisme


Les Classiques Indémodables : Mozart, un Génie de la Musique Classique Connue


Impossible de parler du classicisme (1750-1820) sans mentionner Mozart (1756-1791). Il incarne souvent l’exemple parfait du « génie naturel », puisqu’il composa dans quasiment tous les genres : symphonies, concertos, opéras et musique religieuse.

  • Œuvres majeures :

  - Les Symphonies n°40 et n°41 (« Jupiter »).

  - Les Concertos pour piano, dont plusieurs sont considérés comme d’authentiques joyaux.

  - Les Opéras, notamment Les Noces de Figaro, Don Giovanni ou encore La Flûte enchantée.

  • Réception : Il fut certes reconnu, mais aussi confronté à des difficultés financières et à un certain malentendu autour de ses innovations musicales.

  • Anecdotes :

  - Le sens de l’humour décalé de Mozart ressort dans ses courriers à sa famille, contrastant avec la noblesse de ses compositions.

  - Beethoven, adolescent, espérait étudier sous sa direction, mais le décès prématuré de Mozart empêcha cette collaboration.




Joseph Haydn : Un père pour la symphonie et le quatuor


Joseph Haydn (1732-1809) est souvent surnommé le « père de la symphonie » pour avoir formalisé et perfectionné le modèle symphonique et le quatuor à cordes.

  • Éléments notables :

  - Il laissa plus de 100 symphonies, dont la n°94 « La Surprise » et la n°101 « L’Horloge ».

  - Il entretint des rapports d’amitié avec Mozart, puis de mentorat avec Beethoven.

  • Réception : À son époque, Haydn était extrêmement renommé. Il travailla pour la noble famille Esterházy, ce qui l’autorisa à expérimenter en toute liberté.

  • Anecdotes :

  - Dans sa Missa in tempore belli, composée pendant les conflits napoléoniens, il intégra finement la tension de son époque.

  - Après l’avoir rencontré, Haydn confia à Léopold Mozart qu’il considérait son fils comme le plus grand compositeur vivant.




Ludwig van Beethoven : Le charnière entre deux époques


Beethoven (1770-1827) s’impose comme le trait d’union entre classicisme et romantisme.

  • Œuvres clefs :

  - Les 9 Symphonies, dont la n°5 (et son inoubliable motif “pom-pom-pom-pom”), la n°6 « Pastorale », et la n°9, qui se conclut sur l’« Ode à la joie ».

  - Les Sonates pour piano, à l’image de la “Pathétique” ou de la “Clair de lune”.

  - Les Quatuors à cordes, d’une profondeur incomparable.

  • Réception :

  - De son vivant déjà, Beethoven était considéré comme un génie, malgré un caractère difficile et sa surdité grandissante.

  - La première de la 9ᵉ symphonie en 1824 fut un grand moment de l’histoire musicale, même si Beethoven ne pouvait plus entendre lui-même l’applaudissement du public.

  • Anecdotes :

  - Schubert, fervent admirateur, décéda peu après Beethoven et demanda à reposer près de sa tombe.

  - Pendant la Seconde Guerre mondiale, le motif de la 5ᵉ symphonie (•••— en morse) fut assimilé au “V” de la victoire.




Le classicisme a vu l’émergence de formes musicales structurées (symphonies, concertos, sonates), mais Mozart, Haydn et Beethoven ont dépassé la simple convention pour créer un répertoire « classique » toujours vivant.


 


Le Romantisme et ses chefs-d’œuvre phares


Frédéric Chopin : L’âme du piano

Frédéric Chopin (1810-1849) demeure la figure incontournable d’une écriture pianistique pleine de délicatesse et d’intériorité.

  • Œuvres majeures :

Les Nocturnes, qui ont fait connaître le genre auprès du grand public.

Les Polonaises et Mazurkas, fortement inspirées par les danses polonaises.

Les Études, véritables prouesses de virtuosité et de mélodie.

  • Réception :

Chopin devint rapidement la coqueluche des salons parisiens.

Ses pièces, considérées parfois comme trop sentimentales, ont néanmoins conquis d’innombrables pianistes depuis deux siècles.

  • Anecdote :

Il était réputé pour sa préférence pour les pianos Pleyel.

Il se produisait rarement en public, préférant les contextes intimistes. Son toucher était décrit comme extraordinairement doux et chantant.




Franz Liszt : Le premier “showman” du piano


Franz Liszt (1811-1886), contemporain de Chopin, incarne l’idole romantique par excellence, adulée dans toute l’Europe.

  • Œuvres connues :

  - Les Rhapsodies hongroises, dont la n°2, souvent reprise dans des dessins animés.

  - Les Études d’exécution transcendante, où s’exprime sa virtuosité hors normes.

  - Les Poèmes symphoniques, inspirés par la littérature et la philosophie.

  • Réception :

On parla de “Lisztomania” pour décrire l’enthousiasme fou de ses admirateurs.

  • Influence :

Liszt introduisit l’idée de “récital” pour piano solo, et inspira plus tard Rachmaninov ou encore Horowitz.




Hector Berlioz : Le grand orchestre romantique


Hector Berlioz (1803-1869) incarne l’audace orchestrale propre au romantisme.

Symphonie Fantastique (1830) : Récit musical d’une passion obsessionnelle.

  •  Réception : Création déroutante, mais rapidement consacrée.

  •  Anecdote : Berlioz raconta avoir puisé son inspiration dans sa propre passion pour l’actrice Harriet Smithson.

  • Postérité : Aujourd’hui considérée comme une œuvre clef du romantisme en orchestre.




Richard Wagner : Un univers opératique révolutionnaire


Richard Wagner (1813-1883) a bouleversé l’opéra, en suscitant l’adhésion la plus totale ou le rejet le plus virulent.

  • Œuvres majeures :

L’Anneau du Nibelung (en quatre parties), Tristan und Isolde, Parsifal.

Le titre le plus connu est sans nul doute La chevauchée des Walkyries

  • Réception :

Scandales ou ferveur absolue.

  • Anecdote :

Le roi Louis II de Bavière fut un mécène fanatique, finançant le théâtre de Bayreuth.

Les leitmotivs et l’harmonie chromatique révolutionnèrent la forme de l’opéra.




Piotr Ilitch Tchaïkovski : Le maître des ballets


Né en 1840 et mort en 1893, Tchaïkovski est renommé pour ses mélodies riches et expressives.

  • Œuvres phares :

 Le Lac des cygnes (1877), La Belle au bois dormant (1890), Casse-Noisette (1892).

 Ses Symphonies n°4 et n°6, dite « Pathétique ».

  • Réception :

 À sa création, Le Lac des cygnes n’emballa pas le public, qui le jugeait trop dramatique. La version remaniée devint pourtant un triomphe.

  • Anecdote :

 Tchaïkovski craignait littéralement de perdre la tête en dirigeant, tant il était emporté par l’ardeur de sa musique !




Le romantisme libéra l’expression passionnée et la virtuosité éblouissante. De Chopin à Tchaïkovski, en passant par Liszt, Berlioz et Wagner, cette période a fourni des pièces majeures qui forment encore aujourd’hui le cœur de la musique classique connue.


 


Les Joyaux Post-Romantiques et du XXe Siècle


Giuseppe Verdi (1813-1901)

  • Œuvres emblématiques :

 La Traviata, Rigoletto, Aida, Nabucco.

  • Réception : Véritable icône italienne, ses opéras épousèrent les aspirations patriotiques de son époque.

  • Anecdote : Le chœur “Va, pensiero” de Nabucco est devenu un chant quasi officiel pour l’unité italienne.




Giacomo Puccini (1858-1924)

  • Titres phares :

La Bohème, Tosca, Madama Butterfly, Turandot.

  • Réception : Ses œuvres obtinrent un succès immédiat, grâce à des airs envoûtants et un sens dramatique hors pair.

  • Anecdotes :

  • Madame Butterfly fut d’abord un échec, avant que les modifications opérées par Puccini ne la transforment en triomphe.

  • Nessun dorma (extrait de Turandot) s’est imposé comme un air incontournable, notamment grâce à Pavarotti.




Johannes Brahms et Antonín Dvořák : La continuité de la grande symphonie


Malgré de nouveaux courants, Brahms (1833-1897) et Dvořák (1841-1904) perpétuèrent l’héritage symphonique.


Brahms : Célèbre pour ses Danses hongroises (notamment la n°5), son Requiem allemand et ses Symphonies.

  • Anecdote : Il craignait de composer sa première symphonie, tant il tenait Beethoven en haute estime.




Dvořák : Sa Symphonie n°9 « du Nouveau Monde » (1893) compte parmi les plus jouées, particulièrement son mouvement “Largo”.

  • Réception : Présentée comme l’âme américaine, elle s’inspire pourtant de la culture tchèque du compositeur.

  • Influence : Des auteurs américains comme Gershwin se sont réclamés de son apport.




Claude Debussy et Maurice Ravel : Les nuances de l’impressionnisme musical


En France, Debussy (1862-1918) et Ravel (1875-1937) ont forgé un style qu’on appelle souvent “impressionniste”.


Debussy : Prélude à l’après-midi d’un faune, La Mer, Clair de lune.

  • Réception : Son audace harmonique fut mal comprise à ses débuts, mais ouvrit la voie à de nouvelles esthétiques.

  • Anecdote : Il se défendait d’être “impressionniste”, préférant le terme “symboliste”.




Ravel : Boléro, Daphnis et Chloé, La Valse.

  • Réception : Au départ, Boléro (1928) étonna par sa répétition continue, avant de devenir un phénomène mondial.

  • Anecdote : Ravel considérait qu’il n’y avait “pas de musique” dans Boléro, tout en restant stupéfait par son succès.




Igor Stravinsky : Une révolution en plein printemps


En 1913, Stravinsky (1882-1971) dévoile Le Sacre du printemps à Paris.

  • Réception : La première représentation provoqua un scandale monumental, avec des spectateurs hurlant leur indignation tandis que d’autres défendaient l’œuvre.

  • Postérité : À présent, c’est un incontournable du répertoire du XXe siècle, emblématique de l’audace rythmique et des harmonies dissonantes.

  • Anecdote : Stravinsky, écoeuré par le tumulte, quitta la salle avant la fin.




Des derniers feux du romantisme jusqu’aux audaces de la modernité, Verdi, Puccini, Brahms, Dvořák, Debussy, Ravel et Stravinsky occupent une place de choix dans la « musique classique connue », témoignant de l’évolution ininterrompue de l’art sonore.


 


Quels ingrédients font qu’une œuvre devient un “hit” ?


"Le vrai classique n'est pas celui qui suit des règles établies mais celui qui crée les règles qu'il suit." - Igor Stravinsky

Dans le domaine classique, on ne devient pas “tube” en quelques semaines. Il peut falloir des décennies pour qu’une composition s’impose. Plusieurs facteurs se rejoignent :


  1. La force intrinsèque : Beauté, originalité, intensité émotionnelle.

  2. Le soutien de grandes figures de l’interprétation : Parfois, une interprétation mémorable (par exemple Glenn Gould et ses Variations Goldberg) peut propulser une œuvre au sommet.

  3. La médiatisation : La radio, les disques, le cinéma, la publicité ouvrent à ces pièces un large public. Souvenez-vous de Also sprach Zarathustra dans 2001, l’Odyssée de l’espace.

  4. Le contexte historique et social : Certaines pièces marquent une génération ou un événement (le chœur Va, pensiero de Verdi, symbole d’unité italienne).


Succès immédiat ou long chemin vers la gloire ?

Il arrive qu’un triomphe immédiat s’essouffle vite, ou qu’une œuvre snobée au départ devienne finalement une icône.

  • Casse-Noisette de Tchaïkovski, d’abord reçu froidement en 1892, règne aujourd’hui sur les saisons de Noël.

  • La Rhapsodie in Blue (1924) de Gershwin, si elle n’est pas toujours classée parmi les « grandes œuvres classiques » au sens traditionnel, fut un succès dès sa création et ne s’est jamais démenti.


Hommages et emprunts mutuels

La musique classique est loin d’être figée : de nombreux compositeurs s’inspirent de leurs prédécesseurs.

- Exemple : Rachmaninov signe des variations sur un thème de Corelli, un maître du baroque.

- Exemple : Brahms compose des variations sur un thème de Haydn pour marquer son admiration.


 


TOP 20 des morceaux de musique classique les plus connus


Voici un classement, évidemment subjectif, de 20 musiques classiques connues et incontournables. Elles ont acquis une véritable popularité, nourrie par les concerts, le cinéma et la publicité.


 


Conseils pour écouter la musique classique connue


Quelles versions écouter ?

L’offre d’enregistrements est si vaste qu’il est parfois difficile de s’y retrouver. Voici quelques suggestions :


  • Bach : Les Concertos brandebourgeois par Nikolaus Harnoncourt (Teldec), ou par le Concentus Musicus Wien.

  • Mozart : Les opéras par Karl Böhm (Deutsche Grammophon) ou Claudio Abbado (DG).

  • Beethoven : Les sonates pour piano par Wilhelm Kempff ou Arthur Schnabel.

  • Tchaïkovski : Les ballets avec l’Orchestre du Mariinsky sous Valery Gergiev.

  • Ravel : Boléro par Pierre Boulez et l’Orchestre de Paris.


Se rendre aux concerts

Le frisson du direct reste inégalable. Des salles prestigieuses comme la Philharmonie de Paris, le Carnegie Hall de New York ou l’Opéra de Vienne enchaînent les programmations de classiques incontournables.

- Anecdote : Ces hauts lieux ont vu défiler des légendes comme Caruso, Maria Callas ou Herbert von Karajan.


La plus grande salle de concert gratuite 24/24 et 7/7 :

La radio LA GRANDE MUSIQUE diffuse 24/24 une sélection exclusivement classique : un moyen idéal de découvrir des œuvres de tous horizons, via son site, ses applications ou ses fréquences.


illustration pour écouter La Grande Musique


Aller au-delà des “morceaux-phares”


Pour élargir votre répertoire, pourquoi ne pas explorer des créateurs moins exposés ?

  • Alexandre Scriabine : Son post-romantisme recèle des couleurs harmoniques originales.

  • Karol Szymanowski : Compositeur polonais, il propose un univers sonore chatoyant.

  • Nikolai Medtner : Pianiste-compositeur russe, à l’œuvre encore trop rare en concert.


 

Le pouvoir de la « musique classique connue » tient à sa capacité à franchir les frontières temporelles, à être réinterprétée en permanence et à émouvoir génération après génération. Que ce soit une phrase de Vivaldi qu’on a tous déjà fredonnée, la puissance de Beethoven, la prodigieuse virtuosité de Liszt ou la délicatesse de Debussy, chacune de ces œuvres évoque une émotion, une histoire, un univers intemporel.


Les exemples ici proposés ne représentent qu’un échantillon de l’immense richesse de cette musique « classique ». Loin d’être un art figé, elle se renouvelle constamment et offre toujours une nouvelle facette au gré des interprètes et des époques.


Que vous soyez novice ou déjà accoutumé aux salles de concert, cet aperçu vous invite à pousser plus loin votre curiosité. Comparez différentes versions, découvrez de nouvelles pièces, osez vous aventurer au-delà de votre zone de confort : vous verrez, la musique classique reste en perpétuel mouvement et ne cessera jamais de vous surprendre.


Nous vous souhaitons une excellente exploration musicale et espérons vous retrouver pour d’autres découvertes dans ce monde inépuisable qu’est la musique classique connue !


Podcast audio

Les 20 tubes de la musique classique que vous connaissez déjà (sans le savoir)




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