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  • Laurent Couson signe “The Book of Life” : une œuvre de lumière et de paix à Saint-Étienne-du-Mont | La Grande Musique

    La nouvelle création du compositeur et chef d’orchestre Laurent Couson, The Book of Life, sera donnée en concert le lundi 24 novembre 2025 à l’Église Saint-Étienne-du-Mont à Paris. Inspirée par les textes sacrés et la poésie universelle, cette œuvre pour chœur, orchestre et solistes s’inscrit dans la continuité du message humaniste de son précédent Requiem XIX. < Retour E.Rials, rédacteur 13/10/25 Laurent Couson signe “The Book of Life” : une œuvre de lumière et de paix à Saint-Étienne-du-Mont La nouvelle création du compositeur et chef d’orchestre Laurent Couson, The Book of Life, sera donnée en concert le lundi 24 novembre 2025 à l’Église Saint-Étienne-du-Mont à Paris. Inspirée par les textes sacrés et la poésie universelle, cette œuvre pour chœur, orchestre et solistes s’inscrit dans la continuité du message humaniste de son précédent Requiem XIX. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Une prière universelle en musique Avec The Book of Life , Laurent Couson poursuit son exploration des grands textes spirituels et de leur portée humaniste. Après le succès durable de Requiem XIX , interprété depuis quatre ans dans des églises, synagogues et opéras laïques, le compositeur offre une nouvelle création porteuse d’espérance. Au cœur de cette œuvre, Couson tisse un dialogue entre les traditions religieuses et les voix du monde. S’inspirant du Livre de l’Ecclésiaste , méditation intemporelle sur le sens de la vie, il y associe un poème original en anglais, d’une intensité lumineuse, qui invite chaque être humain à être « inscrit dans le Livre de la Vie ». Cette prière, inspirée du rituel de Yom Kippour et du célèbre Kol Nidrei , est ici restituée dans sa langue d’origine, l’araméen, comme un écho à la profondeur du sacré. Pour enrichir cette fresque sonore, Couson fait dialoguer trois poètes issus de cultures et de époques différentes : le mystique persan Hâfez, le marocain Hatim de Tavy, et la sainte espagnole Thérèse d’Avila. Trois sensibilités, trois langues, un même appel à la fraternité universelle. Une œuvre pour chœur, orchestre et voix solistes The Book of Life retrouve la formation chère au compositeur : une soprano soliste en dialogue avec un chœur mixte, soutenus par un orchestre à cordes et le piano. La soprano libanaise Marie José Matar , au timbre lumineux et expressif, incarnera la voix soliste, tandis que le pianiste Guillaume Vincent apportera son élégance et sa précision à cette création. Ils seront accompagnés par le chœur et l’orchestre Sul Fiato , placés sous la direction de Laurent Couson lui-même. Cette alchimie entre écriture contemporaine et textures chorales classiques promet un moment d’émotion rare, à la fois spirituel et profondément humain. Vivaldi et Fauré en ouverture En première partie de ce concert exceptionnel, le public entendra deux chefs-d’œuvre du répertoire choral dirigés par Matthieu Cabanés : le Magnificat de Vivaldi (1715), éclatante célébration de la foi baroque, et Les Djinns de Gabriel Fauré (1875), cantate dramatique qui met en relief la puissance des masses chorales et des contrastes orchestraux. Ce choix de répertoire crée un pont esthétique entre le passé et le présent, entre la ferveur baroque et la modernité lyrique de Couson. L’ensemble de la soirée s’annonce comme un véritable voyage spirituel et musical. Un concert au service de la paix Fidèle à sa vision d’un art porteur de sens, Laurent Couson associe cette création à des actions humanitaires concrètes. Le concert est organisé en partenariat avec l’association Safe World Peace , engagée dans l’éducation artistique des enfants défavorisés, ainsi qu’avec l’association Balagan , symbole du dialogue interculturel. Soutenu par le Groupe Mirwault , La Grande Musique et le Club de l’audiovisuel , cet événement transcende le simple cadre musical pour devenir un acte de fraternité et d’espoir. Un message universel Laurent Couson, musicien du métissage culturel, livre avec The Book of Life une œuvre à la fois spirituelle et résolument contemporaine. En réunissant poètes, langues et traditions de tous horizons, il signe un hymne à la paix et à la vie, dans un contexte mondial où le dialogue entre les cultures apparaît plus nécessaire que jamais. Pour aller plus loin, écoutez le podcast de la grande interview de Laurent Couson : Rendez-vous le 24 novembre 2025 à 20h30 à l’Église Saint-Étienne-du-Mont (Paris 5e) pour découvrir cette création, porteuse d’émotion et d’espérance, qui promet d’inscrire durablement son empreinte dans le paysage musical sacré. Laurent Couson invite au dialogue des cultures à Saint-Étienne-du-Mont https://my.weezevent.com/the-book-of-life-magnificat Précédent Écouter le direct Suivant

  • Aida de Verdi renaît sous le regard brûlant de Shirin Neshat à l’Opéra Bastille | La Grande Musique

    La metteuse en scène iranienne Shirin Neshat propose à l’Opéra de Paris une relecture saisissante de l’Aida de Verdi, entre tragédie antique et échos des conflits contemporains, portée par une distribution vocale d’exception. Opéra Bastille du 24 septembre au 04 novembre 2025. < Retour E.Rials, rédacteur 03/10/25 Aida de Verdi renaît sous le regard brûlant de Shirin Neshat à l’Opéra Bastille La metteuse en scène iranienne Shirin Neshat propose à l’Opéra de Paris une relecture saisissante de l’Aida de Verdi, entre tragédie antique et échos des conflits contemporains, portée par une distribution vocale d’exception. Opéra Bastille du 24 septembre au 04 novembre 2025. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien L’Opéra Bastille a ouvert sa saison avec un choc esthétique et politique : Aida de Giuseppe Verdi, revisitée par l’artiste et cinéaste iranienne Shirin Neshat. Ce monument du répertoire, créé au Caire en 1871, est ici transfiguré par une mise en scène qui met en lumière les fractures du monde contemporain. Exit l’exotisme poussiéreux des temples égyptiens et des processions triomphales : place à une fresque sombre, tendue, où se superposent l’intime et le géopolitique, la passion et la guerre. Une Aida à l’épreuve du présent Shirin Neshat n’a jamais caché sa volonté de replacer l’opéra dans une actualité brûlante. Les costumes, signés par la créatrice elle-même, mélangent influences antiques et accents militaires modernes : uniformes kaki, foulards noirs, silhouettes évoquant à la fois l’Iran d’aujourd’hui et un Moyen-Orient ravagé par les conflits. Les projections vidéo qui ponctuent la scène, autre marque de fabrique de l’artiste, plongent le spectateur dans un univers de ruines, de visages en gros plan et de cortèges endeuillés. La « marche triomphale », souvent prétexte à des défilés spectaculaires, prend ici des allures funèbres : la victoire a le goût amer du sang versé. Cette relecture dérange, mais elle passionne. Car sous l’apparat verdien, il y a toujours eu une œuvre profondément politique. Verdi lui-même, chantre du Risorgimento italien, savait que derrière l’histoire d’une princesse éthiopienne captive et amoureuse de son ennemi Radamès, se jouait un drame universel : celui de la domination, de l’exil et du sacrifice. Neshat ne fait que tendre ce miroir à notre époque. Une distribution de haut vol Pour donner chair à cette vision, l’Opéra de Paris a réuni une distribution exceptionnelle. Dans le rôle-titre, la mezzo-soprano belge Ève-Maud Hubeaux impressionne par la noblesse de sa diction et la profondeur de son timbre, capable de passer de l’élan héroïque à la fragilité la plus désarmée. Face à elle, le ténor polonais Piotr Beczała campe un Radamès d’une intensité dramatique rare, éclatant dans ses aigus mais bouleversant dans ses hésitations de soldat partagé entre l’amour et le devoir. Amneris, la rivale, est incarnée par la mezzo Clémentine Margaine, dont la puissance scénique emporte tout sur son passage. Sa jalousie, sa rage, mais aussi sa douleur finale résonnent avec une vérité déchirante. Les seconds rôles, du Roi d’Égypte au grand prêtre Ramfis, complètent avec brio cette distribution homogène. À la baguette, le chef italien Michele Mariotti dirige l’Orchestre de l’Opéra national de Paris avec une énergie précise et fluide. Sous sa direction, la partition déploie toute sa richesse : éclats guerriers, grands ensembles choraux, mais aussi ces pages intimes où Verdi laisse parler la tendresse. Le Chœur de l’Opéra, magnifiquement préparé, s’impose comme un protagoniste à part entière, rendant palpable la ferveur d’un peuple tantôt exalté, tantôt accablé. Un opéra-monde Ce qui frappe, au-delà de la réussite musicale, c’est l’intensité avec laquelle le spectacle dialogue avec notre monde. Quand Aida et Radamès choisissent de mourir ensemble plutôt que de trahir leurs idéaux, c’est toute la condition humaine face à la violence des régimes qui s’exprime. Neshat filme cette mort lente comme une image de résistance : deux êtres écrasés par l’Histoire, mais invincibles dans leur fidélité à l’amour. Cette Aida n’est pas seulement une redécouverte d’un chef-d’œuvre lyrique ; c’est une expérience esthétique et politique, un coup de poing visuel qui oblige à penser l’opéra autrement. Comme l’écrit un spectateur en sortant : « On n’assiste pas à un simple spectacle, on traverse une épreuve ». Un pari audacieux pour l’Opéra de Paris En confiant à Shirin Neshat les clés de ce classique du répertoire, l’Opéra de Paris a pris un risque. Mais c’est précisément ce risque qui redonne au théâtre lyrique sa vitalité. Le public, parfois bousculé, ressort profondément marqué, preuve que l’art lyrique reste un espace de débat et d’émotion. Plus de 150 ans après sa création, Aida continue de nous parler. Verdi voulait faire de l’opéra une tribune pour l’humanité. En 2025, à l’Opéra Bastille, Shirin Neshat lui offre une nouvelle jeunesse, sombre et éclatante, qui résonne avec les tumultes de notre temps. Opéra Bastille du 24 septembre au 04 novembre 2025 de 15 € à 220 € Réservations : https://www.operadeparis.fr/saison-25-26/opera/aida#calendar Durée : 3h20 avec 1 entracte Langue : Italien Surtitrage : Français / Anglais https://www.operadeparis.fr/saison-25-26/opera/aida#calendar Précédent Écouter le direct Suivant

  • Quand l'opéra français renoue avec l'audace et l'exigence | La Grande Musique

    Du Théâtre des Champs-Élysées à l'Opéra-Comique, de Toulouse à Rouen, la scène lyrique nationale vit des heures intenses. Entre prises de rôle attendues, mises en scène audacieuses et reconnaissance des talents français, novembre marque un tournant pour notre patrimoine musical. Une effervescence qui témoigne d'une vitalité culturelle que nos institutions défendent encore avec fierté. < Retour E.Rials, rédacteur 01/11/25 Quand l'opéra français renoue avec l'audace et l'exigence Du Théâtre des Champs-Élysées à l'Opéra-Comique, de Toulouse à Rouen, la scène lyrique nationale vit des heures intenses. Entre prises de rôle attendues, mises en scène audacieuses et reconnaissance des talents français, novembre marque un tournant pour notre patrimoine musical. Une effervescence qui témoigne d'une vitalité culturelle que nos institutions défendent encore avec fierté. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Je l'avoue : en parcourant les programmations de ces dernières semaines, je ressens cette excitation du mélomane qui sait qu'il vit un moment particulier. Car novembre 2025 n'est pas un mois comme les autres pour la musique classique en France. C'est celui où nos plus belles maisons lyriques rivalisent d'ambition, où de jeunes talents français s'imposent sur les scènes nationales, et où l'exigence artistique reprend ses droits face à la facilité. Prenons d'abord ce qui se joue actuellement à l' Opéra-Comique , salle Favart. Du 2 au 12 novembre, Wajdi Mouawad y signe une nouvelle production d' Iphigénie en Tauride de Gluck qui fait déjà parler. Le metteur en scène franco-libanais, qu'on connaît pour sa capacité à mêler l'intime et le mythologique, a même écrit un prologue original pour replacer cette tragédie dans notre époque troublée. Louis Langrée et le jeune Théotime Langlois de Swarte se partagent la direction musicale, avec l'ensemble Le Consort aux instruments anciens. La soprano Tamara Bounazou incarne une Iphigénie déchirée entre devoir sacré et amour fraternel. Ce qui me frappe dans ce projet, c'est justement cette volonté de ne pas moderniser à tout prix, mais de révéler l'humanité brute d'un mythe qui nous parle encore aujourd'hui – celui de l'exil, du sacrifice, de la réconciliation. Des thèmes qu'une France inquiète de son identité devrait méditer. Mais l'événement qui concentrait tous les regards se tenait avenue Montaigne, au Théâtre des Champs-Élysées . Benjamin Bernheim, notre ténor national dont la voix somptueuse fait la fierté de la scène lyrique française, devait y incarner Faust dans La Damnation de Berlioz du 3 au 15 novembre. Une prise de rôle très attendue pour ce chanteur qui cultive avec passion le répertoire romantique français. Hélas, comme l' a rapporté Forum Opéra le 1er novembre, le ténor était souffrant lors de l'avant-première réservée aux jeunes le 31 octobre et a été remplacé par François Rougier. Espérons que Bernheim se rétablisse rapidement pour donner les représentations suivantes aux côtés de la jeune mezzo Victoria Karkacheva et de Christian Van Horn. La mise en scène de Silvia Costa, qui promet de placer la musique au cœur de l'action en rendant visibles les gestes des musiciens, mérite qu'on y assiste. D'autant que Les Siècles, sous la baguette de Jakob Lehmann, apportent leur connaissance des pratiques d'époque à cette partition exigeante. Plus au sud, Toulouse ne manque pas d'ambition. L' Opéra national du Capitole annonce du 20 au 30 novembre une nouvelle production de Don Giovanni qui réunit cinq maisons d'opéra françaises – belle démonstration que nos institutions savent encore mutualiser leurs moyens pour l'excellence. Deux débuts prestigieux : Agnès Jaoui à la mise en scène (sa première au Capitole) et le jeune chef finlandais Tarmo Peltokoski à la direction musicale. Le choix de confier ce chef-d'œuvre mozartien à une cinéaste et comédienne française reconnue pour sa finesse psychologique n'est pas anodin. Jaoui saura certainement capter la complexité trouble de ce séducteur qui court à sa perte. La distribution réunit des voix françaises de premier plan : Nicolas Courjal et Mikhail Timoshenko alterneront dans le rôle-titre, Karine Deshayes et Alix Le Saux en Elvira. Voilà qui promet des soirées où le génie mozartien rayonnera dans la langue du drame et de la sensibilité. Ces derniers jours ont également vu l'annonce des nominations pour les Victoires de la Musique Classique 2025 , qui se tiendront le 5 mars prochain à l'Opéra de Rouen Normandie. Parmi les révélations artistes lyriques, on retrouve trois talents qui font honneur à notre école de chant : la mezzo Floriane Hasler, le ténor Julien Henric et la soprano Julie Roset, lauréate du prestigieux concours Operalia 2023. Dans la catégorie Enregistrement, le label français Bru Zane est nommé pour sa minutieuse reconstitution de La Vie parisienne d'Offenbach dans sa version originale. Natalie Dessay recevra une Victoire d'honneur pour l'ensemble de sa carrière. Autant de signes que la France continue de former et de célébrer des artistes d'exception. L'automne a aussi révélé une découverte passionnante, comme le relate ClassiqueNews : la redécouverte du compositeur viennois Oskar Posa (1873-1951), grâce à un nom aperçu sur une affiche de concert de 1905. Ce genre d'enquête musicologique, qui fait resurgir des œuvres chambristes et des lieder oubliés, rappelle que notre patrimoine musical européen recèle encore des trésors à exhumer. Pendant ce temps, l' Opéra de Paris poursuit sa Tétralogie wagnérienne avec La Walkyrie programmée du 11 au 30 novembre à Bastille, dans la mise en scène de Calixto Bieito et sous la direction de Pablo Heras-Casado. Les grands cycles ont ce mérite de fidéliser un public exigeant et de transmettre aux jeunes générations l'ampleur des cathédrales lyriques du XIXe siècle. La saison 2025-2026 de la maison Bastille-Garnier s'annonce riche, avec notamment le retour très attendu de Jonas Kaufmann dans Tosca , et l'entrée au répertoire de Satyagraha de Philip Glass – preuve qu'on peut défendre le grand répertoire sans fermer la porte à la création contemporaine. Ce qui me frappe dans cette effervescence, c'est la capacité de nos institutions à maintenir une exigence artistique malgré les contraintes budgétaires et les tensions qui traversent notre société. L'Opéra national Normandie Rouen, qui accueillera les Victoires en mars, affiche une activité foisonnante depuis la fusion de l'Opéra et de l'Orchestre en septembre 2024. Leur ambition : rayonner dans toute la Normandie, y compris dans les villages les plus éloignés. C'est cette mission de service public culturel, enracinée dans nos territoires, qui doit guider nos politiques : faire vivre l'excellence partout, refuser la concentration parisienne, transmettre un patrimoine qui forge notre identité. Car au fond, ce qui se joue sur nos scènes d'opéra dépasse largement le simple divertissement. C'est notre culture, notre langue, notre génie musical qui s'y exprime et s'y perpétue. À l'heure où tant de voix voudraient nous convaincre que ces arts seraient élitistes ou dépassés, ces programmations audacieuses démontrent le contraire : la grande musique reste vivante quand elle ose l'exigence et la transmission. Précédent Écouter le direct Suivant

  • Podcast Laurent COUSON | La Grande Musique

    Le billet d'humeur de Laurent COUSON Laurent COUSON LE BILLET D'HUMEUR DE LAURENT COUSON Les podcasts Laurent COUSON partage ses coups de cœur et ses coups de gueule en 2 minutes sur LA GRANDE MUSIQUE. Compositeur, chef d’orchestre et collaborateur de Charles Aznavour et Claude Lelouch, il défend avec passion une vision vivante de la musique classique. Du Carnegie Hall à l’Opéra de Bordeaux, cet artiste aux mille facettes nous livre ses découvertes, ses indignations et son enthousiasme pour les spectacles à ne pas manquer. Un regard authentique et sans concession sur la musique classique d’aujourd’hui, par celui qui la vit de l’intérieur. À propos : Laurent Couson est un compositeur, chef d’orchestre et pianiste français né en 1976, diplômé du Conservatoire Supérieur de Paris avec les plus hautes distinctions. En 2002, Il entame sa carrière au sein de Radio France, qui lui passe ses premières commandes, puis on joue ses œuvres Salle Pleyel, Théâtre des Champs Élysées, Théâtre de la Ville, et même au Carnegie Hall, New York. Artiste aux multiples facettes, il a dirigé les plus grands orchestres internationaux, de l’Orchestre Philharmonique de Radio France au Beijing Symphonic Orchestra, en passant par le London Symphonic Orchestra. Il travaille aussi comme arrangeur et directeur musical auprès de nombreux musiciens de Jazz ou Chanson Française. Il collabore notamment avec Charles Aznavour, Dee Dee Bridgewater, Didier Lockwood, Francis Lai, Gérard Manset, Régine, Liane Foly, Anggun et bien d’autres légendes de la musique. Créateur visionnaire, Laurent Couson révolutionne les codes musicaux avec des spectacles innovants comme “Electro Symphonic Project”, fusion entre DJs et orchestre symphonique présentée à l’Opéra de Bordeaux. Résolument tourné vers la composition de Musique de films, il signe la musique originale d’une trentaine de longs métrages avec notamment Claude Lelouch, Luc Besson , tout en poursuivant une carrière d’acteur dans plusieurs films du célèbre réalisateur. Son nom figure au générique d’une cinquantaine d’albums, et il a sorti dix albums sous son nom , témoignant d’une créativité débordante qui fait de lui l’invité idéal pour partager sa passion et son expertise sur les ondes de LA GRANDE MUSIQUE.

  • Concert Vivaldi, Mozart, Orchestre Hélios direction Glen Rouxel, Eglise de la Madeleine, jeudi 3 avril | La Grande Musique

    Concert Vivaldi "Les 4 Saisons", Mozart "Petite Musique de Nuit", Orchestre Hélios direction et violon solo Glen Rouxel, Eglise de la Madeleine, jeudi 3 avril 2025 à 20h45 < Retour E.Rials, rédacteur 18/04/25 Concert Vivaldi, Mozart, Orchestre Hélios direction Glen Rouxel, Eglise de la Madeleine, jeudi 3 avril Concert Vivaldi "Les 4 Saisons", Mozart "Petite Musique de Nuit", Orchestre Hélios direction et violon solo Glen Rouxel, Eglise de la Madeleine, jeudi 3 avril 2025 à 20h45 Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien L’Orchestre Hélios : Fondé en 2014 par Paul Savalle, l’Orchestre Hélios favorise l’insertion professionnelle des jeunes musiciens par la pratique orchestrale. Association ambitieuse et éclectique, il propose un perfectionnement aux jeunes diplômés auprès de professionnels expérimentés. Son répertoire, allant du baroque au contemporain, mêle musique symphonique et chorale grâce à l’implication de chœurs territoriaux, au cœur de son projet artistique. L’orchestre, à géométrie variable (du quatuor au grand orchestre), permet une grande diversité de formations et de répertoires. Cette souplesse lui ouvre l’accès à des lieux patrimoniaux inédits et facilite la rencontre avec divers publics. Composés de musiciens issus des grands conservatoires, plusieurs membres jouent aussi dans des orchestres nationaux. D’origine normande, l’ensemble s’est élargi à d’autres régions, affirmant son ancrage territorial et sa mission de lien entre formation et profession. https://classiqueatoutprix.placeminute.com/ Précédent Écouter le direct Suivant

  • Concert Daria Davidoff le 4 octobre 2025 au Conservatoire Rachmaninoff | La Grande Musique

    Récital spécial de la Cantatrice Daria Davidoff au Conservatoire Serge Rachmaninoff de Paris, le Samedi 4 octobre 2025. < Retour E.Rials, rédacteur 23/09/25 Concert Daria Davidoff le 4 octobre 2025 au Conservatoire Rachmaninoff Récital spécial de la Cantatrice Daria Davidoff au Conservatoire Serge Rachmaninoff de Paris, le Samedi 4 octobre 2025. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Récompensée par de nombreux prix internationaux, Daria Davidoff est une célèbre Soprano internationale, ayant fait ses débuts au Théâtre du Bolchoï et comme solliste au Théâtre de Moscou Stanislavski et Nemirovitch-Dantchenko, ainsi que pour la télévision. Elle s'est produite dans les plus beaux théâtres et opéras des Etats-Unis, Allemagne, Chine, Japon, Russie, Autriche, Pologne, Danemark, Finlande, République Tchèque, Portugal, Tanzanie, Congo, Italie, Liban, France, etc. Aussi, c'est une grande chance de pouvoir l'écouter et profiter de sa présence en France, entre deux destinations internationales, en partenariat exceptionnel avec votre radio de musique classique LA GRANDE MUSIQUE. Au programme de cette soirée exceptionnelle : Debussy, Ravel, Tchaikovsky, Rachmaninoff. ATTENTION : nombre de places limité Informations complémentaires : Réservations : Inscription et réservation contact@davidoff.paris Téléphone : +33 (0) 6 03 61 00 62 Précédent Écouter le direct Suivant

  • Quand la scène lyrique française dit adieu à ses légendes | La Grande Musique

    Entre hommages poignants et promesses d'avenir, l'actualité musicale nous rappelle la fragilité de l'art et la nécessité de le transmettre. De l'Opéra-Comique à Radio France, voici ce qui a marqué ces derniers jours. < Retour E.Rials, rédacteur 05/11/25 Quand la scène lyrique française dit adieu à ses légendes Entre hommages poignants et promesses d'avenir, l'actualité musicale nous rappelle la fragilité de l'art et la nécessité de le transmettre. De l'Opéra-Comique à Radio France, voici ce qui a marqué ces derniers jours. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Ce matin, en parcourant les sites d'actualité musicale, je réalise à quel point novembre 2025 s'annonce comme un mois de transitions. Les adieux côtoient les nouveaux départs, les hommages rencontrent les promesses. C'est tout le paradoxe de notre monde musical : il célèbre simultanément ses patrimoines et ses audaces, pleure ses disparitions tout en accueillant de nouveaux talents. Dans cette semaine particulièrement dense, quatre actualités m'ont particulièrement touché – et vous allez comprendre pourquoi. Iphigénie en Tauride à l'Opéra-Comique : Wajdi Mouawad signe un coup de maître La nouvelle production d' Iphigénie en Tauride de Gluck , inaugurée le 2 novembre à l'Opéra-Comique, fait déjà parler d'elle. Sous la direction de Louis Langrée et dans la mise en scène de Wajdi Mouawad, cette tragédie lyrique trouve une actualité brûlante : le dramaturge franco-libanais situe l'action dans la Crimée contemporaine, transformant le mythe antique en réflexion sur la spoliation des œuvres d'art en temps de guerre. Tamara Bounazou triomphe dans le rôle-titre, portée par Le Consort et le chœur Les Éléments. Les critiques sont unanimes : voilà une production qui prouve que Gluck, en 1779, parlait déjà à notre époque. Maria João Pires tire sa révérence à 81 ans Le 1er novembre, lors de la remise du Prix Helena Vaz da Silva à Lisbonne, Maria João Pires a annoncé la fin de sa carrière de concertiste. À 81 ans, la grande pianiste portugaise, qui avait subi un accident vasculaire cérébral en juin dernier, parle d'un "processus de changement radical" et d'une "recherche de vérités". Après 76 ans sur scène – elle avait donné son premier récital à cinq ans –, cette interprète lumineuse de Mozart, Schubert et Chopin laisse un héritage discographique considérable, notamment chez Deutsche Grammophon. Son départ marque la fin d'une certaine école du piano, celle de la poésie et de l'intériorité. Mirga Gražinytė-Tyla rejoint l'Orchestre Philharmonique de Radio France Dans le registre des bonnes nouvelles, l'annonce du 4 novembre m'a réjoui : Mirga Gražinytė-Tyla, la brillante cheffe lituanienne de 39 ans, devient Première cheffe invitée de l'Orchestre Philharmonique de Radio France à partir de septembre 2026, pour trois saisons. Elle rejoindra Jaap van Zweden, nouveau directeur musical, et Myung-Whun Chung, directeur musical honoraire. Ancienne patronne du Birmingham Symphony Orchestra, passionnée de Weinberg et de la création contemporaine, Gražinytė-Tyla représente cette génération de chefs qui renouvelle le répertoire sans renier la tradition – exactement ce dont la musique française a besoin. La France perd la claveciniste Françoise Lengellé Le 2 novembre nous quittait discrètement Françoise Lengellé , grande dame du clavecin français. À 81 ans, cette spécialiste du répertoire baroque (Chambonnières, Rameau, Couperin) laisse orphelins ses anciens élèves du Conservatoire de Lyon, où elle enseigna jusqu'en 2010. Lauréate du concours de Bruges en 1977, pédagogue recherchée jusqu'en Californie, elle incarnait cette exigence et cette élégance propres à l'école française du clavecin. Son décès, survenu peu après celui de Maria João Pires en termes d'annonces, nous rappelle cruellement la fragilité de ces transmissions – et l'urgence de les préserver. Précédent Écouter le direct Suivant

  • Don Giovanni embrase l’Athénée : un diable très humain, un théâtre en apesanteur | La Grande Musique

    Le frisson est immédiat : orchestre sur scène, chanteurs au milieu des pupitres, souffle dramatique tendu. Le Don Giovanni de Mozart, de retour à l’Athénée-Théâtre Louis-Jouvet à Paris (15–21 octobre 2025), cultive une proximité rare et une lecture nerveuse, charnelle, qui renverse nos habitudes d’écoute. < Retour E.Rials, rédacteur 20/10/25 Don Giovanni embrase l’Athénée : un diable très humain, un théâtre en apesanteur Le frisson est immédiat : orchestre sur scène, chanteurs au milieu des pupitres, souffle dramatique tendu. Le Don Giovanni de Mozart, de retour à l’Athénée-Théâtre Louis-Jouvet à Paris (15–21 octobre 2025), cultive une proximité rare et une lecture nerveuse, charnelle, qui renverse nos habitudes d’écoute. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Je suis entré dans la Grande Salle persuadé de connaître l’histoire par cœur. J’en suis ressorti avec l’oreille rajeunie. Pas de fosse : les musiciens partagent le plateau avec les chanteurs, et l’énergie circule sans filtre. Julien Chauvin , dirigeant depuis son pupitre de premier violon à la tête du Concert de la Loge , impulse un mouvement vif, des attaques franches, des suspensions dosées comme des respirations de théâtre. En trois heures (entracte compris), la musique ne lâche jamais la scène ; pourtant, rien ne presse inutilement. C’est cette tension-détente, ce balancement entre vitesse et silence, qui donne au récit son grain vivant. Jusqu’au 21 octobre, l’Athénée bat au rythme de Mozart. Le contexte compte : une reprise très attendue, portée par la mise en scène précise et sensible de Jean-Yves Ruf . Le dispositif est simple — passerelle, voiles de tulle, lampes qui descendent des cintres — mais le regard est happé. La scénographie transforme la partition en espace, le plateau en caisse de résonance. Les costumes de Claudia Jenatsch , intemporels, déclinent des couleurs-signatures (un rouge profond pour Donna Anna , un bleu céleste pour Donna Elvira , un blanc lumineux pour Zerlina ) et ancrent l’action dans un passé sans date, assez proche pour brûler encore. On perçoit physiquement l’obsession centrale de l’œuvre : la pulsion de vie qui se heurte à sa propre limite. La distribution avance comme une troupe soudée. Timothée Varon impose un Don Giovanni d’autorité : pas seulement un charmeur, mais un décideur ; un geste, un regard, et la scène bascule. Adrien Fournaison lui répond par un Leporello très incarné : projection ample, diction nette ; son « catalogue » amuse sans cligner de l’œil. Margaux Poguet donne à Elvira un métal vocal qui se voile de tendresse dans « Mi tradì » ; Marianne Croux fait de Donna Anna une ligne ferme traversée de nostalgie (« Non mi dir » filé avec tact). Abel Zamora prête à Ottavio un souffle long et une élégance sans amidon (« Il mio tesoro » propre et fluide). Michèle Bréant ( Zerlina ) charmerait un régiment sans minauder ; Mathieu Gourlet ( Masetto ) oppose sa franchise terrienne ; Nathanaël Tavernier ( le Commandeur ) fait vibrer le bronze. On sent l’écoute mutuelle, la confiance rythmique, la respiration commune entre plateau et pupitres. Ce qui me frappe surtout, c’est la manière dont la mise en scène assume la dualité du dramma giocoso . Don Giovanni n’est ni farce noire ni sermon édifiant : il est les deux à la fois. L’orchestre visible brouille la frontière entre jeu et menace ; les instrumentistes eux-mêmes deviennent complices, comme si la musique tirait la mèche des situations. On rit, puis l’on frissonne : au bal masqué, les lignes des vents scintillent comme un sourire ; à l’apparition du Commandeur, les cuivres creusent l’air, et la température chute d’un degré. Ce théâtre-là ne raconte pas seulement la légende du séducteur : il en éprouve le vertige, la vitesse, la chute. Il faut dire un mot du style musical : attaques nettes, contrastes tranchés, mais jamais secs. Les récitatifs filent sans poussière ; les ensembles trouvent des équilibres clairs, avec des phrasés qui respirent le texte. Dans la salle à l’italienne, la proximité magnifie les nuances : une demi-teinte de cordes, un appui consonant sur une syllabe changent la couleur d’une situation. Le dernier tableau, mené sans gras, rejoint cette évidence : dans Mozart, l’éthique et le rythme ne font qu’un. Et maintenant ? Je parierais que cette formule — orchestre sur scène, direction depuis le violon, troupe jeune — parle aux curieux qui veulent sentir le théâtre battre à la même cadence que la musique. En sortant, j’ai vu des spectateurs vérifier les places pour les dernières dates : signe qui ne trompe pas. Si vous pensez connaître Don Giovanni , venez mesurer ce que la proximité peut déplacer dans l’écoute ; si vous ne le connaissez pas, tant mieux : vous le découvrirez au plus près, comme on surprend un secret. https://www.athenee-theatre.com/saison/spectacle/don-giovanni.htm Précédent Écouter le direct Suivant

  • Concert Vivaldi, Schubert, Orchestre Hélios direction Glen Rouxel, Eglise Saint-Germain-des-Prés, Samedi 5 avril | La Grande Musique

    Concert Vivaldi "Les 4 Saisons", Schubert "Ave Maria", Orchestre Hélios direction Glen Rouxel, Eglise Saint-Germain-des-Prés, Samedi 5 avril 2025 à 20h45 < Retour E.Rials, rédacteur 18/04/25 Concert Vivaldi, Schubert, Orchestre Hélios direction Glen Rouxel, Eglise Saint-Germain-des-Prés, Samedi 5 avril Concert Vivaldi "Les 4 Saisons", Schubert "Ave Maria", Orchestre Hélios direction Glen Rouxel, Eglise Saint-Germain-des-Prés, Samedi 5 avril 2025 à 20h45 Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Les 4 Saisons de Vivaldi, Ave Maria et Célèbres Adagios Les 4 Saisons de Vivaldi « Été » et « Hiver », « Sarabande » de Haendel, « Méditation de Thaïs » de Massenet, « Aria » de Bach, « Ave Maria » de Schubert, « Vocalise » de Rachmaninov, « Adagio in G Minor » de Albinoni, « Danse Hongroise N°5 » de Brahms, « Andante Cantabile » de Paganini, « Nocturne» de Chopin, « Salut d’Amour » de Elgar, « Czardas » de Monti Violon Solo : Glen Rouxel Orchestre Hélios Pour en savoir plus : https://classiqueatoutprix.placeminute.com/ L’Orchestre Hélios : Fondé en 2014 par Paul Savalle, l’Orchestre Hélios favorise l’insertion professionnelle des jeunes musiciens par la pratique orchestrale. Association ambitieuse et éclectique, il propose un perfectionnement aux jeunes diplômés auprès de professionnels expérimentés. Son répertoire, allant du baroque au contemporain, mêle musique symphonique et chorale grâce à l’implication de chœurs territoriaux, au cœur de son projet artistique. L’orchestre, à géométrie variable (du quatuor au grand orchestre), permet une grande diversité de formations et de répertoires. Cette souplesse lui ouvre l’accès à des lieux patrimoniaux inédits et facilite la rencontre avec divers publics. Composés de musiciens issus des grands conservatoires, plusieurs membres jouent aussi dans des orchestres nationaux. D’origine normande, l’ensemble s’est élargi à d’autres régions, affirmant son ancrage territorial et sa mission de lien entre formation et profession. https://classiqueatoutprix.placeminute.com/ Précédent Écouter le direct Suivant

  • Gala lyrique caritatif pour Epic Arts le 12 mai 2025 Salle Cortot | La Grande Musique

    L'association "La lune dans les yeux" organise le Gala lyrique caritatif au profit de l'association EPIC ARTS, le 12 mai 2025 dès 19h, salle Cortot à Paris. < Retour E.Rials, rédacteur 24/04/25 Gala lyrique caritatif pour Epic Arts le 12 mai 2025 Salle Cortot L'association "La lune dans les yeux" organise le Gala lyrique caritatif au profit de l'association EPIC ARTS, le 12 mai 2025 dès 19h, salle Cortot à Paris. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien L'association Epic Arts est une ONG installée au Cambodge qui oeuvre pour l'inclusion des personnes en situation de handicap et leur familles à travers les arts. Epic Arts propose des formations artistiques professionnelles, des spectacles de danse inclusive et des programmes éducatifs. Le célèbre avocat et orateur Bertrand Périer sera le maître de cérémonie. Parmi les artistes qui ont répondu présents, le talentueux Cyprien Katsaris , pianiste et compositeur, qui a joué avec les plus grandes formations et les plus grands chefs de Rostropovitch à Bernstein en passant par Masur, Harnoncourt et Dutoit. La merveilleuse et talentueuse soprano Nadège Meden , deux fois finalistes de l’académie Verdi de l’Opéra de Parme, élève de Grace Bumbry. Denis Dubois de l'Opéra de Paris au piano. Soraya Verdier , élève de Pavel Gililov, pianiste titulaire de nombreux prix et lauréate du concours Mozart de Salzbourg. Lise Nougier , soprano, qui a été formée à l'Opéra de Paris et a chanté dans des festivals prestigieux tels que les Folles Journées de Nantes, le Festival Ravel, le Festival de Pâques. Juliette Gauthier , mezzo-soprano, récemment diplômée du Conservatoire de Paris et qui vient de terminer l'académie de l'Opéra comique, lauréate de nombreux prix sera également présente. Olga Syniakova , mezzo-soprano, qui est une étoile montante et dont la carrière est déjà impressionnante ; lauréate de nombreux prix (Toulouse, Vinas, Bellini, Alfredo Kraus ...) elle a chanté à l’Opéra de Lyon, Teatro Real, Zürich, Seattle, La Scala, et les auditeurs ont pu la découvrir au Théâtre du Capitole aux côtés de Karine Deshayes. PROGRAMME : Improvisations sur des airs d’opéra, avec Cyprien Katsaris GOUNOD, O dieu que de bijoux, Faust , avec Lise Nougier HANDEL, Un momento di contento, Alcina avec Hugo Tranchant MOZART, Hai gia vinta la causa, Le nozze di Figaro , avec Paul-Louis Barlet ROSSINI, Cruda sorte, L’italienne à Alger , avec Juliette Gauthier VERDI, Canzone del velo, Don Carlo , avec Olga Syniakova PUCCINI, Signore ascolta, Turandot , avec Lise Nougier PUCCINI, In questa reggia, Turandot , avec Nadège Meden STRAUSS, Ich lade gern, Die Fledermauss , avec Juliette Gauthier OFFENBACH, Jour et Nuit, Contes d’Hoffmann, avec Hugo Tranchant STRAUSS, Es gibt ein Reich, Ariadne auf Naxos , avec Nadège Meden DONIZETTI, O mio Fernando, La Favorita , avec Olga syniakova TCHAÏKOVSKY, Kogda bin zizhn, Eugène Oneguin, avec Paul-Louis Barlet VERDI, Nel di della vittoria, Macbeth , avec Nadège Meden SAINT SAËNS, Mon cœur d’ouvre à ta voix, Samson et Dalila , avec Olga Syniakova LISZT / WAGNER, Mort d’Isolde, avec Soraya Verdier Billetterie : https://www.helloasso.com/associations/la-lune-dans-les-yeux-opera-and-co/evenements/gala-lyrique-cartitatif-au-profit-d-epic-arts infos et réservations : contact@lalunedanslesyeux.com Pour en savoir plus : https://sallecortot.com/event/gala-lyrique-caritatif-au-profit-de-lassociation-epic-arts/ http://www.lalunedanslesyeux.com Précédent Écouter le direct Suivant

  • Entre turbulences et triomphes : la musique classique française à l'épreuve du feu | La Grande Musique

    La scène lyrique française connaît des jours agités où les questions politiques s'invitent brutalement dans les temples de la musique, tandis que des carrières s'achèvent et que d'autres s'élancent avec éclat. < Retour E.Rials, rédacteur 10/11/25 Entre turbulences et triomphes : la musique classique française à l'épreuve du feu La scène lyrique française connaît des jours agités où les questions politiques s'invitent brutalement dans les temples de la musique, tandis que des carrières s'achèvent et que d'autres s'élancent avec éclat. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien Je n'aurais jamais imaginé qu'un concert à la Philharmonie de Paris puisse ressembler à une épreuve de survie. Pourtant, jeudi soir, c'est exactement ce qui s'est produit lorsque des fumigènes ont dangereusement transformé l'auditorium en théâtre de la contestation. Parallèlement, le monde musical a dit adieu à deux grandes figures - l'une pour toujours, l'autre pour la scène. Et pendant ce temps, le Ballet de l'Opéra a réécrit ses propres règles. Voici ce qui a secoué notre petit monde ces derniers jours. Fumigènes à la Philharmonie : quand la politique s'invite au concert L'image restera gravée dans toutes les mémoires : des fumigènes rouges illuminant la salle Pierre-Boulez pendant que l'Orchestre Philharmonique d'Israël tentait de jouer Beethoven et Tchaïkovski sous la direction de Lahav Shani. Trois interruptions très dangereuses qui pouvaient déclencher un incendie aux terribles conséquences, des affrontements entre les spectateurs et les fauteurs de trouble, quatre personnes placées en garde à vue (mais il conviendra de comprendre les complicités qui permettent à des inconscients de faire entrer des fumigènes dans un lieu où je ne peux pas conserver un parapluie ou une petite bouteille d'eau...). Ce jeudi 7 novembre, la Philharmonie a condamné fermement ces "graves incidents" et porté plainte. Malgré le chaos, les musiciens ont fait preuve d'un sang-froid remarquable : le concert a repris depuis le début, avec András Schiff au piano pour le Cinquième Concerto de Beethoven. Lahav Shani est remonté sur scène pour dire une phrase simple : "Nous jouons pour la paix, pas pour la haine." Une ovation a éclaté. La musique a triomphé, mais le mal est fait. Maria João Pires tire sa révérence À 81 ans, la pianiste portugaise Maria João Pires a officiellement annoncé la fin de sa carrière le 1er novembre dernier, lors de la remise du Prix européen Helena Vaz da Silva à la Fondation Calouste Gulbenkian de Lisbonne. Après un problème de santé cérébrovasculaire survenu en juin, qu'elle décrit comme "un signe, peut-être un avertissement", la grande dame du piano entame un "processus de changement radical" et "une recherche de vérités". Pires, qui avait déjà annoncé une première retraite en 2017 avant de revenir sur scène, semble cette fois-ci déterminée à tourner définitivement la page de l'interprétation. Ses enregistrements de Mozart et Schubert resteront des références absolues, témoignages d'une sensibilité hors du commun et d'une poésie au clavier qui a marqué plus de six décennies. Mirga Gražinytė-Tyla : une étoile montante à Radio France Bonne nouvelle pour Radio France : l'Orchestre Philharmonique annonce la nomination de Mirga Gražinytė-Tyla au poste de Première cheffe invitée à compter de septembre 2026. La cheffe lituanienne, qui s'est fait remarquer à la tête du City of Birmingham Symphony Orchestra, est une passionnée de Mieczysław Weinberg et dirige justement ce mois-ci trois concerts consacrés à Chostakovitch et Weinberg du 14 au 21 novembre à l'Auditorium de Radio France. Cette nomination marque un tournant important : elle collaborera avec Jaap van Zweden, le nouveau directeur musical, dans ce qui s'annonce comme un duo prometteur pour redonner un éclat particulier à cette phalange. Françoise Lengellé : une grande dame du clavecin nous a quittés Le 2 novembre, la claveciniste française Françoise Lengellé est décédée à l'âge de 81 ans . Grande spécialiste du répertoire français des XVIIe et XVIIIe siècles, elle était une interprète d'une sensibilité rare et d'une érudition remarquable. Professeure au CNSMD de Lyon jusqu'en 2010, elle a formé des générations entières de clavecinistes et laisse derrière elle une discographie précieuse, notamment ses enregistrements de Rameau et Chambonnières. Lauréate du Concours international de clavecin de Bruges en 1977, elle fut la première française à y être récompensée. Sa disparition marque la fin d'une époque pour la musique baroque française. Le Concours du Ballet de l'Opéra fait peau neuve Les 3 et 4 novembre, le Palais Garnier a accueilli le retour tant attendu du Concours de promotion du Ballet de l'Opéra , avec une révolution dans ses modalités. Fini l'unique variation imposée exclusivement classique : désormais, les candidats peuvent choisir parmi trois propositions, dont une variation contemporaine. Un changement qui rompt avec 165 ans de tradition mais répond aux revendications des danseurs. Les résultats sont tombés : chez les femmes, Yeeun Lee et Sofia Rosolini sont promues Coryphées, tandis qu'Apolline Anquetil et Seohoo Yun deviennent Sujets. Côté masculin, Shale Wagman, Nathan Bisson et Loup Marcault-Derouard accèdent au rang de Coryphée, et Enzo Saugar ainsi que Keita Bellali rejoignent les Sujets. Cette édition 2025 marque-t-elle un nouveau départ ou le début de la fin pour cette institution unique au monde ? L'avenir nous le dira. Précédent Écouter le direct Suivant

  • Bellini : mort suspecte à Paris | La Grande Musique

    23 septembre 1835, villa de Puteaux. Vincenzo Bellini s'éteint à trente-trois ans après dix-huit jours d'agonie. Le compositeur de Norma et de La Somnambule, Légion d'honneur depuis le triomphe des Puritains, meurt isolé du monde. Le couple Levys, qui l'héberge, interdit l'accès à sa chambre. Même le baron d'Aquino se voit refouler par le jardinier. Bellini est soigné par un médecin italien sans droit d'exercer en France, le docteur Montallegri, qui pose des ventouses tandis que la dysenterie progresse. Rossini, alerté, exige une autopsie : ni poison ni choléra, mais une perforation intestinale fatale. Incompétence médicale ou séquestration coupable ? Le mystère demeure. Son cœur est embaumé, son corps ne regagnera Catane qu'en 1875. < Retour E.Rials, rédacteur 04/11/25 Bellini : mort suspecte à Paris 23 septembre 1835, villa de Puteaux. Vincenzo Bellini s'éteint à trente-trois ans après dix-huit jours d'agonie. Le compositeur de Norma et de La Somnambule, Légion d'honneur depuis le triomphe des Puritains, meurt isolé du monde. Le couple Levys, qui l'héberge, interdit l'accès à sa chambre. Même le baron d'Aquino se voit refouler par le jardinier. Bellini est soigné par un médecin italien sans droit d'exercer en France, le docteur Montallegri, qui pose des ventouses tandis que la dysenterie progresse. Rossini, alerté, exige une autopsie : ni poison ni choléra, mais une perforation intestinale fatale. Incompétence médicale ou séquestration coupable ? Le mystère demeure. Son cœur est embaumé, son corps ne regagnera Catane qu'en 1875. Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn Pinterest Copier le lien https://www.lagrandemusique.fr/podcast-pauline-courtin Précédent Écouter le direct Suivant

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